Premières éoliennes Offshore en France
15 m de fondation, 15m de fonds marins, ces cathédrale marines, 25m hors eau pour les piles de transition, 81m de mâts, 70 m de pâle... du haut de leur 200 mètres assurent à 200 entreprises françaises pour 600 M€ de commandes avec 1200 emplois industriels en pays de Loire et 2300 emplois répartis en France.
À l’horizon 2030, la France prévoit d’exploiter 17 parcs éoliens offshore. Plus de 700 turbines reparties dans la Manche, sur la façade Atlantique et en Méditerranée capteront les vents marins pour produire de l’électricité bas carbone.
La puissance installée de l’éolien en mer atteindra environ 10 GW.
L'éolien en mer a sur l'éolien terrestre deux avantage, l'un de moindre visibilité et d'impacts sur L'habitat humain, l'autre d'une moindre intermittence dans la mesure où les vents matins sont plus stables et plus fréquents.
La position favorable de la France et ses nombreuses façades Maritimes offrent un potentiel estimé à 80 GW pour les turbines « posées » et 140 GW pour les turbines « flottantes ».
Le parc de la Turbale en face de St Nazaire est "posé", c'est à dire que le mat enfoncé dans le sous-sol marin. Les éoliennes flottantes quant à elles reposent sur de gigantesques flotteurs marins fixés et mis en tension à l'aide de longs et puissants câbles marins.
L'éolien flottant qui requiert une plus grande technicité mais il offre de nombreux avantages : un moindre impact sur les milieux maritime, une invisibilité de la côte, un plus grand productive car des espaces plus vastes et surtout une amélioration de la régularité de la production. Ce qui justement fait défaut aux énergies renouvelables.
Développer l'éolien marin est une urgence. La France n'est pas en avance dans le concert des nations. Il y a un challenge à relever. Car chaque jour nous voyons concrètement davantage l'urgence pour le climat et surtout l'urgence que cela induit pour l'humanité